Shut up and f*ck me

Lui, par mail :
« Une de mes limites absolues est de lécher ce qui n’est pas hygiénique (semelle, aisselles, pieds odorants…). Je ne suis ni une serpillière, ni un cendrier, ou tout autre chose engageant ma santé.

Mon souhait est de me faire prendre en club par une ou plusieurs dominas devant un public.
Faites-moi tourner… Du pegging et encore du pegging !
Uro à négocier… mais je suis dur en affaires !

Mon braquemart fait 5,7cm de diamètre pour 27cm de long. »

Moi :
« D’abord : les aisselles ne sont pas sales, les pieds odorants non plus. Vous pouvez en revanche être repoussé par l’un comme par l’autre.

Ensuite : vous cherchez une exécutante qui assouvira votre passion du pegging et vous « fournira » d’autres dominatrices sommées d’officier pour vous satisfaire. Pour ma part je ne me transformerai pas en fucking machine. Je n’ai aucune affinité avec les clients, ou de façon générale les personnes, qui me considèrent comme une pourvoyeuse de pratiques et/ou un objet qui doit leur être utile.
Je ne négocie pas, d’abord parce que je m’y refuse, ensuite parce que je n’en ai pas besoin.

Enfin, je n’organise pas de casting de films porno. »

Il n’a jamais répondu.
Bizarre.