Après ceci, cela :
« Madame,
Au vu de mes réponses à votre questionnaire, il me semble être un bien piètre soumis.
J’aimerais connaître votre opinion sur mes réponses car je cherche aussi votre satisfaction, au delà de ma satisfaction… sûrement mon coté féminin !
/…/
François. »
« Bonsoir François,
Les pratiques acceptées ou refusées ne font pas les bons ni les piètres soumis, pas plus que les outils ne font les bonnes Dominatrices. C’est l’attitude qui différencie les uns des autres, ainsi que leur implication en séance.
Je cherche aussi votre satisfaction, au delà de ma satisfaction… sûrement mon coté féminin !
J’ignorais que le côté dit féminin, s’il a un sens hors du cliché de genre auquel je n’adhère pas, supposait rechercher la satisfaction d’une instance supérieure. Dans le strict cadre D/s de cet échange, évoquer le féminin comme volonté de plaire est déplacé… Née femme, aurais-je donc reçu en héritage l’habitude, voire la « nécessité », de guetter l’approbation d’autrui ? Cela ferait de moi une drôle de Dominatrice, à défaut d’être une Dominatrice drôle. »